PORSCHE 356c 04/1964

PORSCHE 356c de 04/1964

Produite seulement en 1964 et en 1965, la 356C est la plus aboutie des 356.

Equipée de 4 freins à disques et d’un moteur de 75 cv, elle est capable

de rouler à plus de 175 km/h avec une facilité déconcertante.

Rare de cette couleur (Sky Blue 6403), notre 356c est Matching numbers & Color.

L’intérieur tout cuir est également bleu. Restaurée à grands frais depuis le châssis par un spécialiste reconnu, elle dispose de son dossier de restauration, de son attestation Porsche, de sa trousse à outils, de ses manuels d’origine et de son expertise.

En carte grise française normale, elle se présente aujourd’hui en état concours.

A noter : les chiffres apparaissant sur les clignoteurs (avant et arrière) …

Vendue

Citroën DS 19 1963

Citroën DS 19 de 10/1963
Boite Mécanique – Carte grise normale.
Entièrement restaurée – Etat exceptionnel.

En mars 1961, la puissance de la DS 19 passe de 75 à 83 chevaux SAE par l’augmentation du taux de compression (8,5 au lieu de 7,5), la conception de nouveaux pistons à tête bombée et d’un nouveau carburateur double corps. Début 1963, Citroën propose en option sur sa DS 19 une classique boîte mécanique 4 vitesses, jusqu’alors réservée aux plus basiques ID 19.

Vendue en Belgique 

PORSCHE 911 2,7 RS 1973

1973 Porsche 911 Carrera 2,7 L RS
Carte grise française
Châssis n° 9113600343
Moteur n° 6630370
Boîte de vitesses n° 7830345
N° de production 1033978

– Collection Jean-Claude Miloé
– Conforme aux spécifications usine
– Historique détaillé, documentation abondante
– Mécanique d’origine, matching numbers
– Livrée neuve à Avignon
– Entièrement restaurée chez Porsche Ravé

Achetée neuve chez Sonauto, cette Porsche 2.7 RS a été livrée en janvier 1973 à sa première propriétaire, une industrielle française d’Avignon. Elle l’a elle-même vendue à un professeur de médecine qui l’a ensuite cédée à un amateur de sport automobile l’ayant fait repeindre en noir avec filets dorés, en hommage à l’équipe JPS ! C’est auprès de lui que Lucien-François Bernard, un des cofondateurs du club Porsche 356 dont il a été le président pendant plusieurs années, en a fait l’acquisition en 1984. Il s’est attaché à lui rendre son aspect d’origine et, le 27 mars 1990, l’a cédée à Jean-Claude Miloé.
Cette voiture correspond aux spécifications usine, telles que résultant des documents usine ou apparaissant dans l’ouvrage intitulé Carrera RS, de Gruber et Konradsheim et qui fait autorité en la matière. De teinte « Hellgeld 117 » (réf 6562) avec intérieur en simili noir (réf 11), la voiture présente des numéros concordants, avec ses composants d’origine (moteur et boîte de vitesses). Elle fait partie des 50 premiers exemplaires produits et, de ce fait, sa carrosserie est en tôles fines, ce qui constitue un gain de poids par rapport aux exemplaires fabriqués par la suite. C’est un modèle « Touring » (n°472) qui, comme toutes les 500 premières, a bénéficié de vitrages Glaverbel.
Cette voiture n’a jamais participé à une compétition, de quelque nature que ce soit. Elle a tout de même connu l’ivresse de la vitesse en prenant part à des rallyes touristiques comme le Maroc Classic de Jean-François Rageys, la Coupe des Alpes d’Hervé Charbonneaux, des séances de roulage sur circuit (Dijon, Lurcy-Lévis, Montlhéry…), ou par des liaisons de ville à ville, sur les autoroutes allemandes en particulier.
Outre les entretiens courants réalisés par des spécialistes de la marque (selon les circonstances Louis Meznarie, Crubilé Sport, Christophe Terriou ou les concessionnaires Sonauto et Ravé), les interventions majeures ont été effectués par l’usine Porsche elle-même :
– Fin 1991/début 1992 : à 31 380 km, afin de fiabiliser la voiture destinée à de longs déplacements, la boîte de vitesses et le moteur ont été totalement refaits, la coque a été passée au marbre, le circuit de freinage a été restauré et la carrosserie a connu divers travaux (factures du 13 mars 1992).
– Fin 2011/début 2012 : retour à l’usine pour reconditionnement du moteur, de la boîte de vitesses, de l’embrayage, des freins et des trains roulants. Le kilométrage était alors de 83 683 km, soit 52 303 km depuis l’intervention de 1991/1992.

Quelques points de rouille apparaissant aux emplacements habituels chez les 911 (bas de pare-brise…), il a été décidé en 2015 de décaper la voiture entièrement pour vérifier si d’autres parties étaient également concernées et de la restaurer entièrement, tout en conservant tous les éléments d’origine. Il est apparu que la caisse était très saine, sans autre point de rouille. La voiture totalisait alors 93 881 km : n’ayant parcouru qu’un peu plus de 10 000 km depuis l’intervention de l’usine de 2012 et fonctionnant parfaitement, elle n’a fait l’objet d’aucune autre opération, à part un remplacement des bagues de synchronisation de la boîte de vitesses. Pour rendre la voiture plus performante, notamment en accélération, il a été monté des portes et un capot avant en carbone provenant de chez D. Moris (avec renfort intérieur des portes). Restaurés et peints, les éléments d’origine en acier seront livrés avec la voiture, ainsi que le rétroviseur extérieur d’origine. Les sièges type « lightweight » qui équipaient la voiture lors de son achat ont été conservés. La restauration a été terminée en décembre 2015 chez Porsche Ravé, avec un total de factures de 95 000 €.
Le 15 novembre 2017, la voiture totalisait 96 422 km, soit moins de 3 000 km depuis sa restauration. A noter que le compteur kilométrique a été remplacé le 15 mars 2007. L’ancien compteur indiquait 70 738 km, nombre qu’il faut ajouter à celui qu’indique le compteur actuel, soit 25 684 km au 15 novembre 2017, ce qui correspond bien à 96 422 km parcourus depuis l’origine.
Cette voiture a fait l’objet d’un essai par José Rosinski dans l’excellent mensuel Classic & Sports Car (édition française) de novembre 2009. Elle est accompagnée d’un important dossier de factures et d’historique d’entretien, d’un livre de restauration du garage Ravé (département Classic), d’une boîte à l’effigie de la voiture, avec reportage sur la restauration comportant d’abondantes photographies, sur clé USB. Aujourd’hui, avec sa présentation irréprochable et sa mécanique d’origine, elle correspond sans doute à l’une des plus intéressantes Carrera 2.7 RS « Touring » disponibles sur le marché.

– Sold –

BMW I8 2015

BMW I8 08/2014

La BMW i8 est une voiture hybride rechargeable, c’est à dire qu’elle combine un moteur électrique, une batterie et un moteur thermique.

Ainsi, les roues arrières sont entrainées par un moteur trois cylindres essence TwinPower Turbo de 1,5 L et développant 170 kW (231 ch) pour un couple maximal de 320 Nm. La puissance est transmise aux roues à l’aide d’une boîte automatique à six rapports.

Un moteur électrique d’une puissance de 96 kW (131 ch) et d’un couple maximal de 250 Nm entraîne les roues avant via une boîte automatique à deux rapports.

La combinaison des deux moteurs via une gestion intelligente des flux d’énergie donnent une puissance cumulée de 374 cv. La BMW i8 propose une accélération de 0 à 100 km/h en moins de 4,4 secondes pour une vitesse maximale de 250 km/h. En mode 100% électrique, il est possible de rouler jusqu’à 120 km/h, au delà, le moteur essence vient l’épauler.

Équipée d’une monocoque en fibre de carbone et de portes avec ouverture en élytre, la BMW i8 n’a jamais atteint la rentabilité espérée par la marque. C’est ce qui lui coûte sa fin de carrière. Depuis l’arrêt de sa production en avril 2020, la BMW i8 est devenue un véritable collector.

Notre i8 est un modèle de 08/2014, vendue neuve en concession française elle n’a parcouru que 29500 kms. Série limitée « Black/black » elle est sur-équipée : jantes spécifiques, système audio Harman Kardon, navigation GPS etc…

– Vendu en Belgique –

 

 

FORD MUSTANG CABRIOLET « 65 »

FORD MUSTANG CABRIOLET 1965

La FORD Mustang commença sa carrière le 17 avril 1964 mais cela ne l’empêcha pas de faire une entrée fracassante : 22000 unités furent écoulées le premier mois de sa sortie balayant littéralement la concurrence. Ford innova et le modèle « 65 » démarra officiellement le 17 avril 1964. Plus tard, les collectionneurs nommeront ce premier modèle « 64 et 1/2 » pour distinguer les automobiles produites d’avril à juillet 1964. C’est donc 5 mois après sa sortie que l’année modèle 65 commença réellement. Un alternateur en remplacement de la dynamo des premiers modèles a été préféré et les clients la commandèrent en majorité équipée du fameux moteur V8 4,7L de 225 cv et de freins à disques à l’avant.

C’est le cas de notre Mustang Cab 65. Cette auto a bénéficié d’une restauration totale de très haut niveau. Tout a été refait à neuf depuis le châssis nu. Un reportage photo a été réalisé étape par étape afin de montrer la qualité de cette restauration effectuée sans souci de dépenses.

– Vendu en France –